Je vous dit d'ou je viens, Généalogie.

André Mussot,

Est décédé le 07 août 2013 à l'hôpital de Belfort 90

Cousin Germain de Noël PONS mon père...

(Dédé était venu le 14 avril 1977 au funéraille de Noël, à Audeux 25)

Sa mère, était la soeur de ma grand-mère décédé le 27 mars 1975.

Sur la photo Dédé est celui le plus à gauche, près de ma grand-mère, qui est également sa tante Julie. Ensuite en partant sur la droite, Marcel Mussot et sa femme, et le plus à droite, Michel Pons mon oncle et Lucette son épouse.

Ci-dessus un grand oncle paternelle du coté de la mère à mon père, Photo en militaire durant la guerre de 14-18, né à Esmoulin 70100, Mort pour la France en août 1917, inscrit au Monument aux Morts de Gray 70100.

Je veux mettre des photos

Ma grand-mère paternelle, née à Gray le premier mai 1885, du patronyme de Courvoisier, d'un père bûcheron qui bien qu'ayant un logement à Gray, il se déplaçait avec toute sa famille pour aller sur des chantiers, dans des bois à 5/10 Km de Gray, et qui à cette époque était déjà loin, avec le matériel qui était si peu important...

     1.  Le passe partout ou il fallait être deux, 2ou3 haches, et 1 ou 2 serpes, 1 ou 2 scies, 3 ou 4 paires de coins, 1 ou 2 masses de poid différent, quelques outils de mécanique sommaire, de quoi emmancher ces outils, les aiguiser...

Tous ce matériel qui semble aujourd'hui entrer dans une voiture ou remorque... et quand il fallait déplacer tous cela sur 5 Km dont un dans les bois et sur des chemins qui étaient justes empièrés, aucun n'était goudronné...   un ane pour déplacer cela et les affaires de survie dans les bois qui était vraiment rudimentaire...

Marié avec Marie Royer vivant à Gray, déclarée "Bûcheronne", sur les actes d'Etat-Civil de ses enfants, de son mariage. Marie épaulait donc son mari dans les bois...  et comme après la fin mars on ne recommençait pas de chantier... dans les bois qui étaient quittés au premier mai.... et ne reprenait que début septembre.

Pendant la belle saisons, ces gens des bois, venaient travailler dans les fermes pour faucher les foins à la faux à main, aucune machine n'existait avant la guerre de 1914 dans la région.  Ils fauchaient du levé du jour au déjeuné de midi.   Les femmes fannaient à la fourche à trois dent le foin, de la fin de la rosée du matin à 15 heures l'après-midi, hors mis le déjeuné...

L'après-midi, les hommes après le repos, mettaient le foin en reux et le chargeait quand il était sec, mettent aussi en reux celui qui n'était pas assez sec, et le mettait en tas si le ciel menaçait...

Monteux 84170

Quand j'ai commencé mes recherches généalogiques, je savais que du côté de mon grand père paternel, nous venions du midi de la France comme on disait à l'époque.

Sans savoir exactement l'endroit précis, mais que cela se trouvait quelque part vers Avignon.  Mes recherches m'amenèrent à la ville jouxtant Carpentras, cette ville très maraichère, et qui durant les 30 dernières années, cest beaucoup industrialisée.

La population vas bientôt avoir triplé, mais il y règne une ambiance des gens de cette Provence si racontée, la région fut habitée et déjà très prospère dans les siècles avant Jésus-Christ.

Monteux 84170

Sa célèbre tour clémentine qui fut construite par le Pape clément et était sa résidence d'été.

Du temps ou les papes étaient en Avignon et à cette époque et jusqu'en 1789, Monteux comme Carpentras et la valeur de 3 cantons rurals, donc environ 75 communes formaient le Comtat Venaissin qui représentait l'état des Papes et ou ils trouvaient la nourriture et tous leurs besoins pour la vie des Papes et de l'emsemble des très nombreux résidents de la maison des Papes.